L’art de la danse en Egypte (2)

L’Egyptien a promu l'art de la danse tout en y excellant de sorte qu’on prétendait que ces arts rythmiques égyptiens ont été à la base des différents arts de la danse, qui se sont répandus dans le monde et sont restés jusqu'à présent. 

Voilà un texte enregistré par un étranger qui était dans une visite en Egypte. Il a été invité à une fête organisée par un Egyptien à Memphis. Selon le texte : « J'ai vu un groupe de musiciens qui portaient dans les mains des instruments de musique tels que la harpe, le luth simple et double, le tambour et les cymbales, puis un signal a été émis et un homme et une femme sont entrés au milieu de la salle portant des cymbales rondes et concaves en bois fixées à leurs paumes, et ils ont commencé à se battre à des heures régulières avec des pas de danse ».

Parfois, ces deux danseurs dansaient seuls, parfois ils dansaient ensemble, et d'autres fois, le jeune danseur courait derrière la danseuse pour lui exprimer son amour, alors que la fille s'enfuyait après s'être retournée comme si elle refusait son invitation.

L'égyptien [ancien] a créé l'art de la voltige tout en apparaissant une grande habileté.  

Un autre touriste a à son tour admiré cet art lors de sa visite en Egypte au quatrième siècle avant JC, il raconté :  

« Soudain, les danseurs ont disparu, pour être remplacés par un groupe bondissant partout, puis ils se sont rassemblés de nouveau, certains d'entre eux se sont élevés les uns au-dessus des autres avec une grande habilité qui a suscité l'admiration, ils ont ensuite formé des groupes en forme de pyramides qui montaient au plafond, et tout à coup ils sont descendus l’un après l’autre avec une légère stabilité. Enfin deux personnes se sont rassemblées, et l'un d'eux pliait la tête et la plaçait entre les jambes du second, et ainsi il a repris le corps du premier.  

Une fois le corps du premier redressé et revient à la position normale, le second plie la tête et la place entre les jambes du premier, ce qui à son tour soulève le corps du premier en répétant cet acte plusieurs fois très rapidement et avec une habileté incroyable ».  

Dans les histoires égyptiennes, comme il est aussi clair sur les tombes des anciens égyptiens, la danseuse est appelée « Coscosite ». On trouve que les maisons des nobles et des rois étaient remplies de jeunes filles et de danseuses d’Egypte et de l'étranger.